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Business en bref

Les chaines télévisées soutiennent le cinéma dans sa lutte contre le piratage – Nortel publie ses comptes corrigés – Trois nouveaux correctifs pour Windows…

Les chaines télévisées soutiennent le cinéma dans sa lutte contre le piratage

Lundi 10 janvier, les membres de l’industrie du cinéma s’accordaient pour mettre en place plusieurs mesures afin de lutter contre le téléchargement illégal de films sur Internet. Le lendemain, les chaînes télévisées françaises les
rejoignaient. France Télévisions, TF1, M6 et Canal + ont adhéré aux propositions du monde du septième art. Celui-ci propose une série d’actions communes reposant sur trois volets : la sensibilisation, la repression et la création d’une offre
légale.

Nortel publie ses comptes corrigés

Pris dans une tourmente comptable et financière, l’équipementier canadien Nortel, qui fait l’objet d’enquêtes judiciaires, s’était engagé à republier ses comptes de la période 2001-2003. Cette tâche, qualifiée de
‘ monumentale ‘ par Bill Owens, son PDG, a mobilisé 600 personnes à plein temps, nécessité 80 réunions du conseil d’administration et coûté 100 millions de dollars. L’enquête interne a
permis de démontrer que d’anciens dirigeants ont modifié le montant des provisions inscrites pour remplir certains objectifs de rentabilité, et pour assurer des primes et bonus à certains d’entre eux, dont l’ex PDG, Franck Dunn. Très en retard,
Nortel publiera fin janvier ses chiffres du premier semestre 2004.

Trois nouveaux correctifs pour Windows

Microsoft vient de publier son bulletin mensuel de sécurité. En janvier, il comprend trois correctifs dont deux critiques. L’un d’eux met fin à une faille touchant les contrôles ActiveX de Windows, que les experts
jugeaient très dangereuse depuis sa publication sur le Net. Les ordinateurs mal protégés sont exposés à une attaque permettant à un pirate de prendre le contrôle de la machine et d’y installer des spywares à distance.

Le blason terni de Stéphane Bern

Le journaliste et chroniqueur mondain vient d’être condamné par le tribunal de grande instance (TGI) de Paris à verser 15 000 euros de dommages et intérêts pour avoir publiquement diffamé sur son site Web un héritier de la
famille royale roumaine. Les avocats du chroniqueur avaient avancé pour la défense de leur client qu’un site Internet n’était pas une publication de presse, rappelle le quotidien Libération. En pratique, la justice a jugé du
contraire, précisant le régime juridique applicable aux pages Web en faisant dInternet un média de droit commun.

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La rédaction