France Telecom jaloux de ses numéro courts
Pour l’utilisation de numéros à quatre chiffres donnant accès à des services spéciaux (masquage du numéro, dernier appelant), l’opérateur historique paie à l’Etat une redevance de 40 000 euros par an et par numéro. D’où son
émotion à voir Free et neuf telecom proposer ces mêmes numéros dans le cadre de la téléphonie par ADSL. Selon Les Echos, l’information a été remontée à l’ART, qui n’a pas ouvert de procédure de sanction. L’autorité compte lancer
une consultation sur l’usage de ces numéros.
Banque en ligne : la série noire continue
Après les
clients de la Société Générale la semaine dernière, les détenteurs de comptes à la Postbank et à la Deutsche Bank, viennent également d’être la cible de tentatives de fraudes sur
Internet. Certains d’entre eux ont ainsi reçu des mails leur demandant de fournir leur mot de passe et leur code de sécurité. Seul problème, ces courriers électroniques provenaient non pas de leur établissement bancaire, mais de fraudeurs qui
avaient mis en ligne de faux sites ressemblant comme deux gouttes d’eau aux sites bancaires originaux. Les adresses litigieuses, postbanks.info et deutsche-bnk.info, ont été fermées par les autorités, précise l’AFP.
Hollywood sen prend aux fabricants de puces DVD-Video
Les studios de cinéma américains attaquent en justice Sigma Designs et Media Tek, deux fabricants de puces pour platines de DVD. La Motion Picture Association of America (MPAA) leur reproche de vendre leurs
circuits, sans son aval, à certaines sociétés dont les produits serviraient à la copie illégale de DVD. Or, les fabricants de puces comme ceux de lecteurs de DVD doivent préalablement signer un accord avec la DVD Copy Control
Association. Cet organisme s’assure que les produits commercialisés respectent bien le système de protection anticopie des DVD-Video, CSS (Content Scramble System).
Souriez, vous êtes filmés par un virus
Rbot-GR annonce-t-il une nouvelle génération de virus ? Toujours est-il qu’il ne se contente pas de voler mots de passe et de lancer des attaques par déni de service. Rbot-GR pousse le vice jusqu’à espionner les
propriétaires des PC infectés en prenant le contrôle de leur Webcam et de leur microphone. Images et sons sont envoyés au pirate par Internet. Selon l’éditeur Sophos, le virus s’introduit dans les ordinateurs de ses victimes en
profitant des failles de sécurité de Microsoft et en installant un programme de type cheval de Troie.
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