Des artistes boycottent le service iTunes d’Apple
Selon Reuters, les groupes Red Hot Chili Peppers et Metallica ont refusé que leurs titres puissent être téléchargeables à l’unité sur le service de musique en ligne d’Apple. Un agent des artistes explique que cette attitude vise à
défendre le format album menacé par la vente au titre. Une opinion partagée par d’autres groupes comme Green Day et Linkin Park qui se seraient également opposés à la vente de leurs chansons en single sur le service d’Apple.
Les médias en ligne se font une place sur le marché
Toujours à la recherche d’un modèle économique, les médias en ligne ont tendance à se tourner vers des solutions mixtes associant services payants et publicité. D’après l’étude de juillet 2003 réalisée par Entreprises & Médias, si
la majorité des professionnels considèrent la gratuité comme une utopie, 66 % des médias interrogés rejettent l’hypothèse d’un accès payant au site et 81 % misent plutôt sur une complémentarité des sources de financement. La plupart sont
optimistes quant au développement du marché de la publicité. Cependant, l’étude précise qu’aucun modèle économique n’émerge clairement pour l’instant.
Mieux définir les biens culturels en vente sur Internet
Le Forum des droits sur l’Internet vient d’annoncer la mise en place d’un groupe de travail visant à mieux définir la notion de bien culturel associée au commerce électronique. La définition, proposée le
19 septembre 2002 par le Conseil des ventes, prévoit qu’un bien, émanant du même auteur ?” artiste ou fabricant ?”, qui a déjà fait l’objet d’une vente aux
enchères publiques en salle avec catalogue est considéré comme un bien culturel. Ce critère, jugé trop restrictif, avait suscité un vif mécontentement de la part de la société de ventes aux enchères eBay. Le nouveau comité d’experts sera chargé de
formuler une recommandation qui sera rendue publique dès la fin 2003.
La gestion de stockage BMC finit chez EMC
Les utilisateurs de Patrol Storage Manager vont pouvoir trouver refuge chez EMC. En février, BMC avait en effet décidé de couper les vivres à son outil de SRM (administration des environnements de stockage), n’assurant plus que le
support après-vente pour quelques années. Cette maintenance atterrit dorénavant chez le géant du stockage, qui récupère aussi le droit d’utiliser les technologies de Patrol Storage Manager. Les clients de cette application se voient proposer de
migrer vers ControlCenter, l’outil de SRM dEMC.
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