Bouygues Telecom généralise le décompte à la seconde
L’opérateur de téléphonie mobile étend la
facturation à la seconde à l’ensemble de ses offres prépayées (Nomad et Spot). La nouvelle formule est cependant loin d’être gratuite : le prix des nouvelles cartes
‘ Nomad à la seconde ‘ ne varie pas (24 et 44 euros), mais leur crédit de communication est revu à la baisse. Il passe de 1 h 8 à 57 minutes pour la première et de 2 h 26 à 1 h 44
pour la seconde. Les cartes classiques (facturation avec première minute indivisible et paliers de trente secondes) restent disponibles à la vente. Bouygues Telecom élargit également son offre de facturation à la seconde à l’ensemble des
forfaits Evolutifs (moyennant un supplément mensuel de trois euros).
L’Europe enquête sur France Télécom
La Commission européenne va examiner les conditions selon lesquelles l’Etat français met à la disposition de France Télécom une avance d’actionnaire de neuf milliards d’euros. Elle soupçonne en effet les
autorités françaises d’accorder à l’opérateur national un avantage qu’il n’aurait pas obtenu dans des conditions normales de marché. La procédure d’examen concerne également le régime de la taxe professionnelle appliquée
à France Télécom. De son côté, l’opérateur a affirmé dans un communiqué que ‘ La participation de l’Etat, en sa qualité d’actionnaire majoritaire, au plan d’action de l’entreprise est
conforme à celle d’un investisseur privé de marché et ne comporte aucun élément d’aide d’Etat. ‘
.NET marque un point avec Borland
L’éditeur d’outils de développement Java vient d’annoncer qu’il était la première société à faire l’acquisition du kit de développement pour la plate-forme de services Web de Microsoft, .NET Framework. Borland devrait donc logiquement
sortir cette année un concurrent du logiciel Visual Studio.NET, de Microsoft. La compagnie avait annoncé il y a deux semaines l’acquisition de TogetherSoft, un éditeur doutils de développement multiplates-formes.
MandrakeSoft a six mois pour faire ses preuves
Le tribunal de commerce de Paris a ouvert une procédure de redressement judiciaire à l’égard de la société française MandrakeSoft, en
cessation de paiement depuis la mi-janvier. L’éditeur de la distribution Linux Mandrake a maintenant six mois pour assainir ses comptes et faire la preuve de sa viabilité.
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