Bâtie selon le standard J2EE (Java 2 Enterprise Edition), l’architecture de Blue Martini s’appuie sur les serveurs d’application compatibles BEA WebLogic et IBM WebSphere. De nombreuses briques logicielles issues d’autres éditeurs (Fulcrum, Blaze Software et Seagate Software) ont été enfouies dans le produit. L’objectif consiste à fournir des applications exploitables directement par du personnel fonctionnel, après leur mise en place par les informaticiens.
Une architecture, quatre applications
Quatre applications ont ainsi été développées dans cette intention : Marketing, Commerce, Channels (gestion d’un réseau de distribution) et Service (centre d’appels). Celles-ci partagent toutes la même base de données (Oracle 8 ou SQL Server 7). L’interaction entre ces différents modules est donc immédiate.Pour assurer le lien entre ces quatre applications et les autres logiciels mis en ?”uvre dans l’entreprise, l’éditeur propose la brique Blue Martini Integration Manager. Celle-ci offre des passerelles XML, MQ/Series d’IBM, entres autres. Des connecteurs vers les progiciels de gestion intégrés Oracle, SAP et JD-Edwards sont en outre disponibles.Pour l’heure, Blue Martini s’appuie sur ses partenariats avec Andersen, Accenture, Cap Gemini et FI System. Les prix des licences sont fixés à 100 000 ? par application.
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