Pour cela, la société s’appuiera sur plusieurs partenaires privilégiés, dont Bull et Orga, qui fourniront des cartes et des micro-modules, en fonction des appels d’offres. Bull développera également certains des logiciels et apportera son savoir-faire dans le domaine de la sécurité (processus de fabrication, certification des produits).De son côté, Orga pourrait faire profiter son partenaire de son expérience en matière de personnalisation sécurisée, notamment avec sa technique de microlettrage, qui consiste à écrire de façon très fine une phrase piége sur la carte.
A terme, l’Imprimerie nationale pourrait également songer à créer, dans son site parisien, sa propre ligne de personnalisation et d’encartage de cartes à puce.Les permis de conduire, les cartes grises et les chrono-tachygraphes pourraient être les premiers documents concernés. En attendant des cartes didentité à puce, qui pourraient être utilisées pour les démarches administratives, bien sûr, mais aussi lors de transactions électroniques sur des sites de commerce.
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