Hashimoto-san est, comme beaucoup de développeurs nippons, discret et concentré. Sa Pasionaria qui manie les flingues et les armes blanches comme personne, il en connaît le moindre pixel. A le voir enchaîner les combos et les attaques spéciales, tout paraît très facile.
Après une petite prise en main, cependant, on s’aperçoit que l’aisance de notre séductrice destructrice de choc est à la mesure de la tâche. Certains ennemis occupent quasiment tout l’écran, et le moteur 3D maison est impressionnant ! Comme notre héroïne défie (entre autres choses !) les lois de la gravité, ses circonvolutions en rajoutent encore dans le spectaculaire.
Un univers très, mais vraiment très haut en couleurs !
Les décors sont somptueux et tranchent avec la violence et la noirceur des attaques magiques et rituelles de la belle et sexy Bayonetta. Il faut dire que Hashimoto-san n’est rien de moins que le créateur de Resident Evil et surtout de Devil May Cry, avec lequel le présent projet a en effet un air de famille.
Surtout, si le déroulement du scénario reste linéaire, le but est de toujours laisser au joueur le choix dans la manière de se sortir d’un combat. Le nombre de combinaisons de coups et d’armes est colossal. Mais, si les experts du genre s’en donneront à cœur joie, les joueurs novices aussi peuvent réaliser de beaux enchaînements, ce qui était clairement un objectif de l’équipe de développement.
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