Très bien, merci pour lui ! Et il est assez facile de répondre à la place du numéro un des moteurs de recherche : les informations financières sur Google sont disponibles librement auprès du gendarme de la bourse américaine, la Securities and Exchange Commission (SEC), sur son site Web www.sec.gov. On y constate qu’en 2009, les revenus nets trimestriels de Google s’élèvent à un milliard d’euros environ, et qu’ils sont en hausse constante ! Sa principale manne financière, c’est le marché publicitaire en ligne, qu’il s’agisse des revenus de la publicité affichée sur ses propres sites (son moteur de recherche, mais également Gmail, Google Maps, YouTube, etc.) ou ceux des publicités ciblées que la société permet aux webmestres d’afficher sur leurs sites.D’autres activités sont également génératrices de revenus. Un établissement peut, par exemple, acheter pour son réseau interne la technologie de recherche de Google.
La pub, ça rapporte
L’ensemble des activités hors publicité en ligne pèse fort peu sur les revenus de Google. En 2009, le marché publicitaire génère, à lui tout seul, 97 % des revenus de l’entreprise. Et la majorité de ces revenus-là proviennent directement des publicités affichées sur les sites de Google lui-même. On comprend donc facilement que les 19 786 employés à plein-temps au sein de la firme, au 30 juin 2009, travaillent autant sur le développement de services gratuits : s’ils sont gratuits pour les internautes qui les utilisent, ils sont extrêmement rentables pour Google
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