Se réunir à distance, communiquer efficacement par chat ou visioconférence, collaborer sur un document où que l’on se trouve… Avec les mesures de confinement et l’explosion du télétravail, de très nombreux salariés ont découvert les avantages des plateformes de travail collaboratives. Mais en multipliant les échanges et les partages de données, ces outils peuvent aussi exposer les entreprises à de nouveaux risques : fuites de documents, intrusions, introduction de malwares…
Sur ce terrain, l’application Teams de Microsoft a une longueur d’avance : éditée par un géant de l’informatique et du cloud d’entreprise, qui équipe en France de très nombreuses entreprises du CAC 40, elle bénéficie de ses hauts standards de sécurité. Microsoft a toujours mis la sécurité au cœur de ses solutions pour s’assurer que les données générées par les utilisateurs et utilisatrices soient suffisamment protégées. Celles-ci sont stockées dans l’un des plus de 100 datacenters ultra-sécurisés de Microsoft dans le monde – et sur le sol français si cela est souhaité. Elles sont chiffrées de bout en bout, en transit et au repos, et ne sont jamais utilisées à des fins commerciales ou publicitaires.
Teams s’inscrivant dans la suite Microsoft 365 (qui intègre toute la suite Office 365), elle profite aussi des atouts de sécurité de cet écosystème. En termes d’accès par exemple : une authentification multifacteurs peut être enclenchée, voire une alerte envoyée à l’administrateur, en cas de connexion suspecte (depuis un appareil non répertorié, depuis un lieu ou à un horaire inhabituel…). Des fonctionnalités clé de Microsoft 365 comme Data Loss Prevention (qui permet de marquer les données sensibles et de contrôler leur partage) ou Advanced Threat Protection (analyse et blocage des liens et pièces jointes au contenu malveillant) s’appliquent également à Teams.
La plateforme comprend aussi ses propres options de sécurité, aidant à limiter les risques au maximum. Teams permet par exemple d’interagir avec des personnes en dehors de sa
propre organisation (clients, fournisseurs…), tout en restreignant leur accès afin de garder la confidentialité nécessaire. Quant à l’enregistrement des réunions, il ne se fait jamais à l’insu des participants, qui en sont tous notifiés. Mais l’accès au fichier de l’enregistrement, lui, peut être contrôlé.
On notera aussi la possibilité de mener des chats privés avec certains membres d’un groupe de discussion, sans que tous n’en soient avertis. Et une autre fonctionnalité très utile dans certaines entreprises : les « barrières d’information », autrement dit la possibilité de cloisonner les échanges internes, pour empêcher les communications et l’échange de données entre certains groupes d’utilisateurs. Une façon de répondre, notamment, à des obligations légales : par exemple dans le cas d’un rachat de société, ou pour éviter les délits d’initié dans le secteur sensible de la finance… Les plateformes de collaboration sont des outils précieux, mais la sécurité d’une entreprise l’est encore plus !
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