Outre l’appartenance exclusive à ces secteurs d’activité, les entreprises postulantes devront être âgées de moins de trois ans et ne pas compter de capital-risqueurs parmi leurs actionnaires.
Six ou sept finalistes auront l’occasion de défendre de vive voix leur projet devant un jury indépendant, composé de chefs d’entreprise et de Philippe Escande, chef du service high-tech des Echos. En échange de leur prix, les deux lauréats primés devront ouvrir leur capital à hauteur de 20 millions de francs en faveur de 3i.
Catapulte privilégie l’innovation et le potentiel commercial
Parmi les critères retenus pour départager les candidats, l’innovation, le potentiel commercial, et la pertinence de la stratégie de développement seront mis en exergue. Mais la qualité du management et la compétence de l’équipe devraient faire la différence.
Plus quun financement original pour deux entreprises, cette formule, qui a déjà fait ses preuves depuis deux ou trois ans au Royaume-Uni et en Allemagne, offre, selon les deux partenaires, une occasion bien souvent unique aux entrepreneurs et aux financiers de faire des rencontres fructueuses et approfondies…
Les dossiers sont à retirer soit directement auprès de 3i, soit sur leur site. Ils devront être retournés avant le 10 avril à minuit.
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