Selon François Chazalon, directeur marketing d’Informix France, ‘ i.Sell 2.0 autorise la mise en ?”uvre de galeries multiboutiques, avec identification globale ou par boutique du client. De même, les possibilités de différenciation par profil sont renforcées. ‘ Prévue également, la possibilité pour le cyberacheteur de sortir de la session à un moment quelconque sans remettre en cause le contenu de son panier.
Pour les exploitants des galeries, i.Sell 2.0 propose quatre niveaux d’information :
#8226; sur le site proprement dit par la vérification de son équilibre et de son ergonomie générale;
#8226; sur les campagnes marketing à travers la définition des profils de clients;
#8226; sur les produits, pour faciliter la mise en place de techniques d’optimisation de chiffre d’affaires par points de vente (up-selling) ou par produits (cross-selling);
#8226; sur les clients à titre individuel (domaines d’intérêt, temps moyen passé…).
Bien que la mire soit toujours pointée sur les grands comptes, les modes de commercialisation ont été revus pour mieux refléter la réalité des collaborations entre SSII, hébergeurs et exploitants dans le domaine du commerce électronique. Les modules sont disponibles de manière unitaire, tandis que des versions spécifiques pour le développement ou la réalisation de maquettes réduisent le ticket d’entrée à environ 200 000 francs. Contre 350 000 auparavant.
‘ Les solutions de commerce électronique, comme i.Sell, ont représenté une part importante de notre croissance, tout comme le domaine de l’aide à la décision ‘, assure François Chazalon.
Avec un chiffre d’affaire de 870 millions de dollars pour 1999, en progression de 18 % par rapport à l’année précédente, Informix a bien redressé la barre, même si l’éditeur affiche des pertes (12 M$), imputables aux provisions pour les différentes acquisitions réalisées l’an dernier. En particulier celle dArdent Software (880 M$), qui devrait être entérinée le 29 février.
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