Depuis un an chez Everest, Clélia Pienne y exerce la responsabilité de gestionnaire de la connaissance : “Loin de nous contenter de créer une simple base documentaire. nous avons voulu accomplir une vraie démarche de ” knowledge management ”, tirée par une stratégie globale d’entreprise.” Objectif à terme : gagner en compétitivité. Or, explique Clélia Pienne, à la tête de ce chantier, “l’avantage compétitif de l’entreprise dépend essentiellement du comportement, de l’initiative et de l’imagination de chacun.” Son rôle sert donc de catalyseur pour mobiliser l’intelligence et les énergies de l’ensemble des collaborateurs.
Aussi est-elle en relation étroite et permanente avec tous les métiers liés à l’entreprise. Autant d’occasions pour elle de multiplier les contacts avec les spécialistes divers de la société : commerciaux, techniciens, DRH… C’est également une ouverture personnelle.
“En tant que knowledge manager, je change de métier à chaque étape du projet : ici, je mène un audit ; là, j’élabore une base de données. Il est impossible de s’enfermer dans une spécificité.” Quant aux moyens d’y parvenir, “il s’agit avant tout de parcours individualisés, note notre interlocutrice. C’est à chacun de combler ses lacunes en fonction de son background et de ses desiderata”. A terme, Clélia Pienne envisage de pouvoir “mettre sur pied une direction de KM qui intègre une cellule de recherche et d’innovation”.
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