Il y avait eu un petit site en forme de teaser qui ne laissait pas beaucoup de doute. Et puis, voilà, jeudi 16 avril 2009 au soir, au sein d’Ubisoft quelqu’un a appuyé sur la touche Entrée et le communiqué a fait crépiter les boîtes e-mails du monde entier…
Assassin’s Creed II sortira à la fin de l’année, soit, sauf changement profond dans le dessin de la courbe du temps, avant Duke Nukem Forever. Le joueur voyagera du Moyen Age à cotte de mailles à la Renaissance italienne florissante à manches bouffantes et collants moulants. Il y incarnera Ezio, jeune noble trahi par des familles sans scrupules comme il en existait dans toutes les principautés et villes de l’Italie d’alors. Logiquement, plutôt que d’aller jouer à Gardening Mama et d’apprendre le macramé, Ezio n’aura qu’une idée en tête se venger, parce que d’après Ubisoft, « la vérité s’écrit dans le sang ». Pas plus mal alors qu’elle soit ailleurs, parce que ça ferait désordre sur le tapis du salon.
Ubisoft promet évidemment plus de plus. Pour être précis, outre plus de variété dans les missions et de « surprises », on devrait découvrir de nouvelles armes, un système de progression du personnage (une composante jeu de rôle ? Non ? Si ! Rhoooo…) et de nombreuses innovations du genre « innovantes ».
Ubisoft en profite pour faire le point sur Assassin’s Creed premier du nom, sorti en 2007, et rappelle, crânement, que ce dernier s’est tout de même vendu à huit millions d’exemplaires. Faut avouer qu’il aurait tort de ne pas recommencer, d’autant qu’on l’aimait bien Altaïr…
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