La TetraLight devrait séduire bon nombre de professionnels de terrain. Cette ardoise électronique offre, en effet, un concentré de technologie dans un boîtier en magnésium durci avec protection antichoc.Certifiée IP 51, l’ardoise satisfait aux normes industrielles et militaires les plus sévères en matière de résistance aux chocs (chute d’une hauteur de 1 m sur du béton armé, en fonctionnement), aux vibrations, à l’altitude (jusqu’à 4 500 m en fonctionnement), à l’humidité (de 5 à 95 % sans condensation) ou aux variations de température (de – 20 ?’C à 50 ?’C).La TetraLight bénéficie parallèlement de la certification IP 52, gage d’immunité contre les projections d’eau (indice 1 sur 10, équivalent à la pluie) et la poussière (indice 5 sur 10). Voilà qui ne permet toutefois pas d’envisager une immersion dans un liquide.
Une faible autonomie de base
La TetraLight exploite un processeur Pentium III à 600 MHz, 64 Mo de mémoire vive SDRAM (extensible à 192 Mo) et un disque dur Ultra ATA de 6,4 Go de 2,5 pouces. Au choix, l’utilisateur peut remplacer l’écran TFT SVGA tactile traditionnel de type 12,1 pouces par un modèle de 13,3 pouces TFT XGA, ou par un écran à haute luminosité (pour une utilisation à la lumière du jour) de 12,1 pouces (option facturée 4 000 F ht, 610 ?).En option, l’ardoise se pare d’une station d’accueil permettant notamment une fixation dans un véhicule (avec un kit horizontal pivotant ou vertical) et/ou d’un clavier infrarouge avec dispositif de pointage et touches de fonction programmables.Principal regret, l’autonomie annoncée avec la batterie Li-ion de base ne dépasse pas 40 minutes. Il faudra donc absolument s’équiper de la batterie Li-ion optionnelle (deux logements dans l’ardoise) pour travailler près de trois heures.Malgré son prix élevé, l’ardoise n’intègre ni lecteur de CD/DVD-ROM ni lecteur de disquettes (tous deux amovibles), proposés en option.
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