Côté technique, Samsung réalise un sans-faute. Cinq tailles
d’écrans
toutes en full HD : 32, 37, 40, 46 et 52 pouces, un traitement Ultra
Clear Panel sur les 40, 46 et 52 pouces pour réduire sur de telles
tailles d’écran la réflexion d’environ 30% de la lumière ambiante, un
traitement 100 Hz (sauf sur le 32 pouces) débrayable pour améliorer le
fluidité des retransmissions sportives, un mode cinéma 24p idéal pour
regarder des films en Blu-ray… Côté tuner, si la TNT HD est acceptée,
on regrettera toutefois que Samsung fasse l’impasse sur le
tuner DVB-C, contrairement à Sony, bien pratique pour recevoir les
programmes du câble sans devoir passer par un décodeur externe. En
revanche, côté connectique, on a droit à la totale, à commencer par 4
prises HDMI 1.3 dont l’une d’entre elles est déportée sur l’un des
côtés du téléviseur, avec entres autres une prise casque et une entrée
USB 2.0 destinée à lire directement des photos Jpeg.
Reste à juger l’efficacité des nouveaux dispositifs d’amélioration
d’images comme le mode DNLe Pro, le sublimateur de couleurs maison voire
encore les modes Movie plus et cinéma 24p. C’est ce que nous
efforcerons de juger lors d’une prise en main à l’occasion de
la sortie de ces nouveaux modèles en mai prochain.
Côté tarification, il est amusant de constater que Samsung arrive avec une gamme d’écrans légèrement plus chère que la nouvelle de Sony (W4000).
Les prix des 32, 37, 40, et 46 et 52 pouces sont en effet annoncés à
1300, 1500, 1800 et 2300 euros. On ne connaît pas encore celui du
modèle 52 pouces (1 mètre et 34 centimètres de diagonale !).
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