La suite StarJet est devenue aujourd’hui une plate-forme de normalisation et de diffusion de données et de documents. Un long chemin parcouru pour le produit dAppic, à l’origine une solution de gestion d’impressions, peu
à peu équipée de fonctions généralement dévolues aux solutions d’archivage ou de
GED.Au c?”ur de la suite, le module StarPage génère des flux de sortie de type PCL, directement interprétés par les imprimantes, mais aussi des fichiers images de type PDF, qui seront archivés, envoyés par e-mail, etc. Dans sa
dernière version, StarPage permet d’automatiser à grande échelle la signature électronique de contenus, pour se conformer aux récentes dispositions légales concernant l’archivage et la traçabilité de documents. ‘ Avec le
nouveau module StarSecure [fourni par AUD System, NDLR], StarPage récupère des flux de données Ascii ou XML provenant de serveurs d’impressions ou de données, puis leur assigne un accusé de réception qui authentifie les
cosignataires d’un document ‘, résume Bertrand de Boissieu, directeur général d’Appic.Les données sont également chiffrées (clés de 160 bits) ; StarPage peut s’affranchir du concours de tiers de certification. StarJet embarque un visualiseur pour consulter les données chiffrées.
Mettre en page les documents
Autre évolution, StarPage assure la gestion de paragraphes, de calculs, de polices et de styles tels que la mise en page justifiée, grâce à un ensemble de règles paramétrables. ‘ Cette fonction convient par exemple aux
entreprises qui génèrent des fiches de paie, composées de paragraphes de texte et de calculs, voire à celles qui ont mis en place une chaîne de dématérialisation, et qui souhaitent valider une structure de documents personnalisés ‘,
détaille Bertrand de Boissieu.A cet égard, StarPage dispose du module StarOCR afin de procéder à la mise en place de chaînes de dématérialisation. Enfin, StarQuery permet de repérer un document, et de l’étiqueter comme un document déjà traité ou validé.
‘ Il agit comme un
workflow de bas niveau, offrant un accès aux SGBD sans connaissance du langage
SQL ‘, conclut Bertrand de Boissieu.
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