Ce service est disponible depuis fin octobre à Nice et dans soixante-huit villes du Nord-Pas-de-Calais. D’ici à la fin du mois, il sera déployé dans vingt et une communes des Hauts-de-Seine, dix communes des Yvelines, à Lyon et son agglomération. Soit, selon les deux partenaires, un million de prises raccordables.
L’offre consiste en un abonnement mensuel forfaitaire :
? 209 francs pour les abonnés télévision ou les abonnés AOL de plus de deux mois;
? 235 francs pour les autres,
? 600 francs pour usage professionnel (professions libérales, transfert de données de 4 Mo)
A noter que l’offre entreprise (raccordement d’un réseau local) n’est pas encore disponible.
Le modem-câble sera loué 90 francs par mois.
Les débits annoncés sont de 512 kbit/s en voie descendante et de 126 kbit/s en voie remontante. L’émission et la réception de données sont limitées à 1,5 Go/mois (20 F TTC pour 20 Mo supplémentaires).
L’ex-propriétaire de Numéricâble, la Compagnie générale de vidéocommunication, avait déjà mené une expérimentation d’accès à Internet par le câble auprès de 300 abonnés à Nice (projet Télériviera).
Alors que la Lyonnaise câble a commercialisé début 1998 Cybercâble , son service d’accès rapide, Numéricâble se lance donc avec deux ans de retard.
Le câblo-opérateur invoque des “travaux de mise à niveau et les problèmes de certains des acteurs du câble “.
NC Numéricâble a aussi dans ses cartons des projets de téléphonie. Selon son DG, Christian Kozar, ce service pourrait être commercialisé d’ici douze à dix-huit mois. Pour l’instant, seules deux sociétés le proposent aujourd’hui : UPC France, dans lest parisien, et la Lyonnaise à Annecy et à Chambéry (3 500 utilisateurs, grand public et professionnels).
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