Une étude de la revue internationale Occupational and Environmental Medicine démontre que l’exposition aux ondes émises par une antenne de téléphonie mobile est maximale à la périphérie de sa zone d’émission. L’étude a été menée auprès de 200 habitants du Doubs, entre décembre 2005 et septembre 2006. Ils étaient munis d’un dosimètre personnel et devaient relever régulièrement leur niveau d’exposition ainsi que le lieu où ils se trouvaient. Jean-François Viel, coauteur de l’étude, rappelle que “ les pics d’exposition ont toujours été mesurés à 280 mètres en zone urbaine et à 1 000 mètres en zone périurbaine ”. En outre, le niveau maximal d’exposition atteint est inférieur à 1,5 volt par mètre, soit en dessous des différentes normes internationales. L’hypothèse des nuisances induites dues à la proximité d’une antenne de son domicile se trouverait donc remise en cause. L’étude et ses conclusions sont toutefois contestées par deux ONG, Agir pour l’environnement et Priartem, qui les qualifient de “ contraires aux lois de la physique ”
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