Un an après l’échec de son forfait Soir et week-end, Freesurf se lance à nouveau dans l’illimité. Mais, pour cette seconde tentative, le fournisseur d’accès s’appuie sur l’ADSL.Principal attrait de l’offre : les débits de crête annoncés par Freesurf (160 kbit/s en émission et 768 kbit/s en réception) sont supérieurs à ceux proposés par Netissimo 1 (128 kbit/s en émission et 512 kbit/s en réception).Si les internautes continueront de supporter les encombrements du Net, Freesurf garantit cependant un débit minimal de 8,4 kbit/s sur le réseau menant jusqu’à ses serveurs.Pour autant, ces performances supérieures ne se répercutent pas sur les prix.Le tarif d’abonnement annoncé par Freesurf, 45 euros par mois (295 francs), s’inscrit dans la mouvance des offres les plus avantageuses du marché comme celles proposées par Wanadoo, Club-Internet ou Infonie.Mais, contrairement à ces fournisseurs d’accès qui proposent des packs à 990 francs, Freesurf n’a consenti aucun effort financier sur l’achat des modems.Il faudra donc débourser 180,5 euros (1184 francs) pour un modem Alcatel Speed Touch USB, ou 253,43 euros (1662,50 francs) pour un Alcatel Ethernet. De plus, 92 euros (603,5 francs) seront demandés pour la mise en service.Actuellement, cette offre est disponible pour Paris intra-muros, les Hauts-de-Seine (92) et la région lyonnaise, mais, d’ici à quelques jours, la couverture sera étendue à 34 départements métropolitains.
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