Seul le prix intéresse l’internaute. C’est partiellement vrai, pour l’instant, sur le marché automobile. Car l’automobiliste cherche aussi, par ce moyen, à comparer les offres et…
Seul le prix intéresse l’internaute. C’est partiellement vrai, pour l’instant, sur le marché automobile. Car l’automobiliste cherche aussi, par ce moyen, à comparer les offres et à mieux s’informer. A la lumière des résultats de l’étude Cars Online 2000, menée mondialement par Cap Gemini Ernst & Young, c’est en effet l’intérêt financier qui pousserait l’automobiliste à surfer sur le Web. Mais d’autres motifs existent. Et notamment la possibilité d’accéder à une information plus diversifiée, plus indépendante, ou encore celle de s’informer sans devoir affronter un vendeur.Les motivations et les freins à l’achat de véhicules sur le Net varient entre les pays du Nord et du Sud de l’Europe (voir tableau). Cela illustre la différence culturelle dans le degré de confiance, les usages d’internet et dans le niveau d’affectivité lié à la voiture. La variété du nombre d’internautes prêts à faire leur prochain achat, en neuf ou en occasion, sur internet (voir histogramme) en découle tout naturellement.