Acer a pris le parti de privilégier un boîtier ultracompact, d’un volume de seulement 5 452 cm3, à comparer aux 30 000 cm3 des formats tour. Au-delà de l’alimentation
externe, ce choix n’est pas sans poser certaines contraintes, le fabricant ayant dû opter pour des ports mini-PCI et mini-PCI-E, tout en ajustant la connectique aux éléments-clés. Figurent ainsi 8 ports USB en façade complétés par le GE, un
graveur combo et un emplacement Kensington. Côté composants, l’AcerPower 2000 accueille un Core 2 Duo E6300 et un disque Western Digital S-ATA de 250 Go. Ses performances n’ont rien à envier aux autres configurations et les points de chauffe
(61?’C max.) sont inférieurs à ceux constatés sur le HP Compaq dc7700 et l’OptiPlex 740 de Dell.Qui peut le plus peut le moins, l’accessibilité aux composants ne peut rivaliser avec celle des boîtiers au format tour. L’extraction du disque notamment nécessite un tournevis. En matière de sécurité et de maintenance, le
fabricant a choisi Acer eData Security Management pour le chiffrement des données du disque et LANScope pour la mise à jour des pilotes et des logiciels, l’arrêt et le démarrage distants. Le PC dispose d’une partition cachée de restauration et
permet de créer un jeu de CD/DVD de restauration. Manquent des logiciels de prise de contrôle et de diagnostic à distance. In fine, le Power 2000 est un bon choix pour les entreprises en quête d’espace.
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