- 10 pièges et plus à éviter avant de changer de télé
- 1. HDtv et HDtv 1080p, attention, nouveaux logos !
- 2. Le traitement vidéo ne fait pas tout
- 3. Les contrastes, la course à l’échalote
- 4. Le 100 Hz, de la poudre de perlimpinpin
- 5. La consommation d’énergie ou la valse des labels
- 6. La folie de l’extraplat, gare aux embrouilles
- 7. Rétroéclairage LED : le dernier truc à la mode
- 8. Les capacités multimédia, que de promesses…
- 9. HDMI 1.3 : ça rassure forcément
- 10 et plus : les petits détails qui fâchent
Ce qui est sûr avec les LED, c’est qu’elles consomment moins d’énergie que les tubes, qu’elles ont une durée de vie plus longue, qu’elles permettent de concevoir des téléviseurs plus fins et que l’intensité du rétroéclairage peut
être mieux gérée, histoire ainsi d’exploiter un espace colorimétrique plus large que sur les téléviseurs classiques. Mais encore faut-il savoir maîtriser cette technologie.
Et si on parlait déjà d’un bon calibrage ?
Sur ce que nous avons pu voir, les téléviseurs LED ont, encore une fois, une fâcheuse tendance à trop en faire. Chez Samsung par exemple, la fonction Smart LED provoque de nombreuses approximations dans la gestion des contrastes,
sans parler de la colorimétrie, exagérée, qui a tendance à dénaturer l’image. Mieux vaut, encore une fois, désactiver cette fonction. C’est rageant, mais c’est comme ça.Et c’est la même chose chez Philips avec des noirs bien noirs, certes, mais des contrastes un peu exubérants et des couleurs en goguette qui s’avèrent tout juste satisfaisantes. Actuellement, le rétroéclairage LED, c’est beaucoup de
promesses, mais peu de résultats vraiment concluants. En tout cas, peu de résultats, résolument supérieur à ce que lon peut voir sur un téléviseur LCD bien calibré.
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