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6. Les ultraportables

Des portables de luxe compacts, légers, performants et design dont les prix baissent doucement mais sûrement.

Avant l’avènement des netbooks, le seul moyen de voyager léger avec un portable était d’investir dans un ultraportable. Aujourd’hui, même si cette catégorie est quelque peu éclipsée par les miniportables à bas prix, les fabricants continuent à en proposer. Eux aussi se caractérisent par des dimensions très réduites. Avec leur écran ne dépassant pas 11,6 ou 13,3″, le poids de ces configurations est (parfois très nettement) sous la barre des 2 kg et ils sont d’un format inférieur ou égal au A4 (21 x 29,7 cm). Le tout avec une épaisseur d’environ 2 cm.Plus que de simples PC, les ultraportables montrent l’étendue du savoir-faire des fabricants et font donc office de vitrines technologiques (et même aussi parfois artistique !). Du coup, il faut souvent compter plus de 1 000 euros. Les modèles plus sophistiqués, comme le Vaio Z11 de Sony, peuvent même atteindre les 2 500 euros ! Les ténors sont des grands noms tels Toshiba, Sony, Dell et… Apple !Pour ce qui est des composants internes, oubliez l’Atom et ses piètres performances. Ceux des ultraportables sont nettement plus rapides. En général, il s’agit de puces de type Core 2 Duo, comme le modèle SU9400 d’Intel, dont la fréquence est comprise entre 1,4 et 2,13 GHz. Ces machines sont donc un peu moins endurantes que les netbooks (entre 3 et 7 h d’autonomie). Mais comme le but n’est pas de tirer absolument sur les prix, leur unité de stockage est souvent de type SSD. L’utilisateur y gagne en fiabilité et en finesse de produit, mais y perd aussi un peu en espace de stockage (128 ou 256 Go). Reste le graveur de DVD, le plus souvent externe (USB) et les puces graphiques, aussi bien des circuits intégrés au chipset Intel, comme le GMA 4500MHD, que des puces spécialisées (Nvidia GeForce 9600M, GeForce GT 330M…).

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La rédaction