Renseignez-vous sur l’historique de la machine
La plupart des ordinateurs cédés en seconde main ont déjà servi dans des activités précises : bureautique, musique, graphisme… Partant du principe que c’est à la machine de s’adapter à vous et non l’inverse, renseignez-vous sur le genre d’exercice dont elle était auparavant coutumière. Sachez également que, si vous ne disposez pas au moins d’un Pentium 133, vous ne pourrez utiliser des applications récentes. Et que 32 Mo de mémoire vive seront à peine suffisants pour exploiter Windows 98 ou Office 2000.
Demandez au vendeur de s’engager
Avant d’acquérir une machine, réclamez un document écrit spécifiant ses caractéristiques (quantité de mémoire vive, type du processeur…). On le sait, la puce est aisément interchangeable sur certaines machines. Alors, autant éviter les mauvaises (quoique rares) surprises. C’est en tout cas un bon moyen de faire peur aux éventuels tricheurs et de traiter entre gens de bonne foi.
Exigez une machine complète
Si vous achetez un périphérique, demandez au vendeur les câbles, pilotes et autres logiciels nécessaires au fonctionnement de l’appareil. Sachez aussi que les modems vieillissent bien, contrairement aux graveurs de CD-ROM et aux scanners, qui sont plus fragiles. Enfin, quel que soit le périphérique, testez-le avant de l’acheter.
Prenez votre temps pour tester
Le mieux est d’essayer la machine chez le vendeur. Si ce n’est pas possible, votre premier réflexe lorsque le matériel arrive chez vous doit consister à vous munir de CD-ROM et de disquettes pour vérifier l’état des lecteurs. En effet, ils craignent particulièrement la poussière. Du côté de l’écran, si l’image se déforme lorsque vous faites varier l’intensité lumineuse, mauvaise nouvelle : il est en fin de course.
Gardez une trace de votre acquisition
Demandez au vendeur une facture stipulant ses coordonnées et les vôtres, la date de la vente, le mode de règlement, la description et les numéros de série des matériels. Photocopiez le chèque qui servira au règlement. En effet, sur la question de la validité du contrat (écrit ou non) passé par deux personnes qui ne sont pas des professionnels, le principal problème consiste toujours dans la preuve de leur engagement.
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