En plus d’être en anglais, InstantRecovery a trois défauts. D’abord, la taille du fichier à télécharger est de 24 Mo. Ensuite, ce même fichier porte une extension.iso. En d’autres termes, il faut donc le graver sur un CD vierge pour pouvoir l’installer. Pour finir, l’installation s’effectue en mode MS-Dos et elle est très complexe.Une fois passées ces étapes fastidieuses, Instant Recovery se démarque par sa simplicité. Sa fenêtre principale, plutôt austère, se compose de trois boutons principaux : Back Up, Restore et Compare. En quelques clics, on peut lancer une sauvegarde de son disque dur ou réinjecter une image. Mais le logiciel effectue les opérations avec une lenteur décourageante
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