Les fonctions du logiciel sont tellement simples que l’interface en anglais ne constitue pas un problème. Restoration dispose d’un seul mode de traitement des données : leur récupération en cas de suppression, mais pas
après le formatage du support. Le logiciel s’en sort avec difficulté : il peine ainsi à retrouver des fichiers effacés récemment, mais en exhume curieusement certains que l’on avait oubliés. Il se révèle en outre capricieux avec les
formats : c’est avec les fichiers Jpeg qu’il s’en tire le mieux, perdant ses moyens face à des fichiers Word, Excel ou des vidéos AVI. De plus, en l’absence de volet de prévisualisation avant restauration, il faut enregistrer le fichier…
avant de se rendre compte qu’il n’est pas valide.
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