Pour ses trois nouvelles gammes de commutateurs, 3Com vise la vente en volume . Ainsi, en évoquant la première série, des équipements de niveau 2 non administrables, les SuperStack 3 Baseline, Marc Bernis, directeur technique de 3Com France, ne laisse planer aucune ambiguïté : “Il n’y a pas ici d’innovation technologique, l’effort a été surtout porté sur le prix.” Avec un résultat évident : face à des concurrents tels que D-Link ou NetGear, la différence de prix peut être importante, jusqu’à 25 % de moins face au modèle à huit ports 10/100/1000 de NetGear. Deuxième catégorie proposée, celle des SuperStack 3 administrables. Il s’agit de commutateurs de niveau 2 empilables et désormais disponibles en mode grappe. Plus économique, la mise en grappe nécessite seulement de l’Ethernet, là où le mode empilable réclame des composants dédiés pour pouvoir agréger les liens.
6,5 millions de paquets par seconde
En ce qui concerne les performances, le SuperStack 3 4226T qui traiterait 6,5 millions de paquets par seconde, vient ainsi concurrencer le 2950T de Cisco. Les 4400, des commutateurs de niveau 4, qui permettent de classer les flux (mais pas de faire de routage), présen tent deux nouveautés. La première concerne l’agrégation point-multipoint : lorsque les 4400 sont empilés pour desservir deux autres équipements de c?”ur, le trafic peut être distribué automatiquement en fonction de la charge. La seconde concerne l’aptitude du commutateur à se coupler à un serveur Radius pour les tâches dauthentification.
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