Après avoir regardé (et adoré) un concert sur un DVD-Vidéo qu’il a acheté en boutique, M. Durand va faire un tour sur le Net pour en savoir plus sur les membres du groupe. Naturellement, il tape le titre duDVDdans Google, et il tombe rapidement sur le site de partage de vidéos YouTube, qui lui propose toute une série de vidéos… qu’il vient de regarder sur DVD. Ce dont il se doutait, mais pas au point de les retrouver toutes. Il se dit qu’il aurait pu économiser quelques euros, d’autant que la qualité de l’image et du son est correcte et qu’il ne va pas passer ses soirées à revoir le concert en boucle. Puis, il décide de télécharger les vidéos sur son PC – en se servant d’une astuce publiée dans Micro Hebdo – afin de les stocker dans le disque dur de sa console de jeu portable PSP (excellente pour regarder des vidéos en déplacement). Maintenant, je pose la question : qu’est-ce qui vous semble le plus sidérant dans cette histoire?Le fait que le site propose les vidéos depuis des mois, illégalement et visiblement en toute impunité?Ou bien le fait que M. Durand risque 300000 euros d’amende et trois ans de prison?Réponse : c’est M. Durand, comme nous l’expliquons dans notre dossier juridique. Décidément, la planète numérique ne tourne pas toujours rond!
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