Disponibilité des équipes, faibles coûts, absence de contraintes techniques : l’hébergement partagé a su séduire très tôt les deux chambres de commerce et d’industrie de Nantes et de Saint-Nazaire. “Notre premier site date de 1996. Il avait été réalisé par une entreprise locale, qui s’était aussi occupée de son hébergement sur un serveur partagé. Elle a depuis été rachetée, mais, avec Info-Next, nous sommes restés fidèles à cette formule“, relate Eric Le Meur, chargé d’étude Internet et intranet pour les CCI. Depuis, celles-ci ont réalisé huit sites (associations d’entreprises, formation continue, etc.), hébergés sur un serveur partagé.
La différence par les services
“Nous avions déterminé trois critères principaux pour choisir notre hébergeur : la rapidité de mobilisation de ses équipes en cas d’incident technique, l’absence de lien entre notre réseau interne et le site web, et un prix abordable. Pour des sites statiques tels que les nôtres, une solution en mode partagé est adaptée“, poursuit Eric Le Meur. D’autant que ce type de formule ne signifie pas devoir se passer des garanties que l’on associe généralement à l’hébergement dédié : “Nous voulions que notre prestataire soit très disponible et tenions à ce qu’il dispose d’une infrastructure redondante. Nous avions aussi besoin d’avoir un seul interlocuteur face à nous.” Ce sont ces services qui font la différence et peuvent rendre une solution en mode partagé viable. Car “partagé ou dédié, si le prestataire est sérieux, la sécurité et la disponibilité sont identiques pour tous les serveurs“, estime Eric Le Meur. Ainsi, Info-Next garantit une intervention sous quatre heures et met à disposition une personne qui assure le suivi des correctifs de sécurité et leur application sur tous les serveurs.Mais les chambres de commerce vont plus loin dans leurs exigences. “Nous réalisons une veille technologique afin de voir comment évolue l’infrastructure Internet et nous assurer que notre hébergeur se maintient à jour et conserve un coût correct, explique Eric Le Meur. Bien que les CCI disposent aujourd’hui de ressources techniques en interne, elles persistent pour le moment dans ce choix d’hébergement. Par ailleurs les CCI ont confié à Info-Next la responsabilité de leur passerelle SMTP, une pratique peu courante. Serait-ce un premier pas vers un mode dédié ? “ Nous y pensons. D’autant que nos prochains sites seront plus stratégiques, auront plus de liens vers notre système d’information et déploieront des technologies plus dynamiques touchant davantage à notre métier. C’est peut-être ce qui nous fera passer en mode dédié !“, conclut Eric Le Meur.
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